Le tracé de la bastide est bien visible avec ses rues perpendiculaires issues d’une place carrée de 80 mètres de côté. Elle était protégée par une double rangée de palissades et de canaux alimentés par les eaux du Néez, canaux aujourd’hui disparus. Des trois portes originelles munies de herses, seule subsiste la porte nord, dite de la Prison, qui date de 1371. Une autre porte se situait près de l’église Saint-Jean et servait aussi de clocher. Les anciens fossés ont été comblés en 1960.